Ladystricte- Do Not Resuscitate
Je suis forcément Bio ! J'ai passé 20 ans de ma vie à la campagne, à grandir en plein air.

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Date de création : 04.12.2011
Dernière mise à jour : 04.01.2012
26 articles


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Souffler sur les pissenlits.

Publié le 04/01/2012 à 09:54 par ladystricte Tags : moi éléments paysage image


Certains les mangent par la racine, moi je préfère souffler dessus. Parce que j’aime bien éparpiller les éléments mais aussi parce que c’est beau, un pissenlit effeuillé. C’est comme pour les gâteaux d’anniversaire, on souffle facilement une bougie, deux bougies, trois bougies, dix bougies…c’est bon, je m’essouffle. Le pissenlit est donc comparable à un gâteau d’anniversaire (que vous avez acheté pour faire plaisir car en réalité vous vous en passez aisément. Il est un âge où vous préféreriez oublier que vous passez ENCORE un cap).

Le pissenlit est complexe et rebelle, et j’aime le complexe. Il faut le prendre délicatement, le caresser, sous peine de le voir perdre un Pappus (si cela arrive, on jette le pissenlit et on recommence, ne jamais baisser les bras). Vous l’avez saisi, il se dresse entre deux doigts, il est majestueux. Vous le faites tournoyer entre vos doigts, le regardant sous toutes ses coutures, vous l’admirez, lui rendez hommage, l’approchez de votre bouche. Fffffffffhhhh. Trop tard, je t’ai eu !!!!!!!! Votre regard s’illumine devant ce magnifique paysage. Votre imagination n’en peut plus, elle divague. En principe, c’est là que je me fais cette réflexion : Je viens de détruire des milliards de vies !... Imaginez-vous un seul Pappus peuplé de dizaines de vies qui elles mêmes sont peuplées de dizaines de vies, ainsi de suite… Si vous prenez le pissenlit dans son entier, vous avez détruit des milliards de milliard de vies.. Vous vous en fichez parce que le big-bang  aura lieu, tôt ou tard.

1264555489-akenes-de-pissenlit.jpgLa prochaine fois, je fais un vœux dès que mon souffle achève le pissenlit…

Le virtuel & moi.

Publié le 03/01/2012 à 21:38 par ladystricte Tags : image belle chez homme vie moi monde amitié société sourire chien revenu

J’ai remarqué un fait étrange. Votre regard croise celui d’un autre être humain. Vous ne savez trop comment ni pourquoi (on sait comment et pourquoi mais on reste naïve) donc, on ne sait ni trop comment ni pourquoi mais il y a ce détail qui vous interpelle (il ne vous fait pas de grands signes de l’autre côté de la rue, non. C’est subtile, inaudible. Bah ouais,h…umpf ! L'audible c’est uniquement quand le cadavre tombe sur le sol…là, je vous cause de première sensation….Faut suivre !!).

Vous avez tout gâché. Je reprends. Vous ne savez ni trop comment ni pourquoi mais un détail chez l’autre, en principe le sexe opposé, (rien à voir avec « Préhensio ») vous interpelle. C’est parfois le regard, parfois une façon de se mouvoir, de sourire… Ce détail envahit tout votre être, au point de vous faire oublier tout le reste (les défauts, beaucoup plus nombreux). Cet homme qui de son regard vous bouleverse, devient un poster 3x3m dans votre monde basique format A4. L’univers dans lequel vous avez rencontré cet individu, vous amène à croire qu’il est l’élu (le type, pas l‘univers). Rares sont de bonnes élections, mais on s’en fiche on a besoin de cette dose d’endorphine.

En ce qui me concerne, les rencontres fortuites sont toujours particulières (Hum….). Cet individu de sexe masculin, de type caucasien, plutôt grand et brun (on ne flashe pas forcément sur les autres) s’empare de votre esprit, au maximum 8 heures (10 minutes pour certains). C’est énorme 8 heures sans une vie de chien ! L’homme perd sa valeur lorsque vous le changez de contexte. Exemple : Votre regard croise le sien, il est sublime. Le contexte aide grandement à votre épanouissement soudain. Vous êtes dans votre bulle sans vous méfier que le vent, une aiguille, peut à tout moment faire éclater votre joie. Vous êtes là, pénarde et vous appréciez le tableau. 8 heures défilent comme les aiguilles de votre horloge (interne) quand subitement, vous recroisez votre individu mais dans un tout autre décor, un tout autre contexte. Vos souvenirs sont las, inachevés. Cet homme, Oh combien si agréable, est devenu un humain comme tous les autres. Mazette, mais que s’est il passé entre hier et aujourd’hui ? Je suis la même, il est également le même et pourtant…. pourtant rien est identique ! Son regard est également le même mais 8 heures se sont installées. Le souci vient du fait que cet homme vit en société et qu’il se doit de donner une image de lui qu’il vous avait caché la veille. Ce qui nous définit en temps qu’être humain, c’est notre capacité à choisir. De mon point de vue, c’est déjà fait ! Je le zappe.

Ce que je déteste devant tout autre chose, c’est le fait de stagner, d’être tirée vers le bas. J’ai besoin de stimulation, et plus précisément verbale. J’ai besoin de cette vague d’énergie qui va m’emporter au loin sans savoir s’il est possible de revenir sur la berge. Avancer, ne pas se retourner.

J’ai virtuellement rencontré mon alter ego et j’ai passé les quatre années les plus magnifiques de mon existence. On ne passait pas une journée sans s’écrire ou se parler. On testait les limites de l’autre. On riait du politiquement incorrect. C’est le seul être humain, rencontré au hasard du courant, qui est resté aussi longtemps dans ma vie. IL, est l’élément perturbateur. Je l’aime d’une amitié sincère, profonde et unique. Il m’aime aussi, surtout quand il me dit que je ne suis qu’une connasse. J’adore ses petits mots doux. Sa façon de relever son sourcil (le petit détail qui tue). Pour me dire que je suis jolie, il utilise sa fameuse phrase : Tu pourrais sourire, ça t’arrangerait ! J’y croyais, puisque les 8 heures étaient écoulées depuis belle lurette… « Je veux que l’on se rencontre, que l’on passe du temps ensemble…blablabla », voilà ce qu‘il m‘a dit. Le point de rupture était donc là. J’ai réussi à vivre 3 mois sans lui. Il est revenu vers moi, malgré le fait que je sois une infecte petite chose sans intérêt. Il s’inquiète pour moi… Depuis quelques semaines donc, je ne vais pas très bien. A suivre.

 

J’ai tendance à ne laisser entrer dans ma vie, que des gens qui ne vont pas rester. Je suis horrible, enfantine à souhait, grossière, impolie, de mauvaise foi…. Bref, la pire des conne. Pourquoi ? Parce que si les gens survivent à cela, ils ont tout à gagner. En principe, ils abandonnent très, très, très vite.

37 ans, et peur de l’abandon. Pathétique.

Moi par moi !

Publié le 31/12/2011 à 15:05 par ladystricte Tags : mode moi vie femme blog merci société internet humour
Moi par moi !

Interview entre moi même et moi :

  • Moi : Pourquoi ce titre "Ladystricte" ?

Moi : Tout d'abord, je répondrais par une phrase relativement simple. J'aime les mots à connotation double. Les districts sont des subdivisions,et j'aime bien ce terme. Puis je suis une femme, stricte, sur certaines idées, mode de vie... La logique m'a donc poussé à me faire connaitre sous le nom de Ladystricte.

 

  • Moi : Pourquoi créer un blog ?

Moi : Pourquoi pas ? De nos jours, tout tourne autour d'Internet, des sites à caractères sociaux. Je me suis donc presque imposée cette démarche que créer un blog, afin de poursuivre un but. Celui de la découverte de la connerie. Un domaine aisément maitrisé durant mes longues années d'IRC. Puis il faut savoir vivre avec son temps.


  • Moi : Que voulez-vous transmettre comme informations ?


Moi : Uniquement du ludique, en passant par des phases de déprimitudes totales. Raconter "des brèves de comptoir", en somme.


  • Moi : N'avez-vous pas peur du regard intérrogateur de vos visiteurs ?


Moi : Il est certain que tous ne comprendront pas la démarche mais j'ose encore croire que l'humour à une place dans notre société.


  • Moi : Ce n'est pas comme laisser un testament, que raconter vos idées farfelues ?


Moi : On cherche tous, plus ou moins, à laisser une trace de notre passage sur cette terre. Qui mieux que moi, pourrait parler de "moi" ?


  • Moi : Merci pour ce merveilleux moment.


Moi : De rien, à la prochaine !

 

Ladystricte

Mes résolutions pour 2012

Publié le 23/12/2011 à 22:53 par ladystricte Tags : moi papier chats

J - quelques broutilles avant la nouvelle année.

En ce jour de l’an de grâce 2011, la résolution s’annonçait. Terrifiante, sanguinaire, elle allait changer le cours de l’histoire… Ou pas.

Résolutions :


-Éviter les ventilateurs et objets dangereux (pierre, papier, ciseaux).
-Ne plus se couper les cheveux en quatre avec un  seul ciseau.
-Réorganiser les icônes de mon bureau.
-Allez plus HAUT….. (c’est pour la rime).
-Éviter la moutarde pour ne plus qu’elle me monte au nez.
-Ne plus chasser le thon, même en boîte.
-Ne plus cliquer sur « j’aime », uniquement pour faire plaisir.
-Arrêter de croire que c’est moi qui chante lorsque j’écoute Mariah Carey au casque.
-Ne plus exploser les chats le long d’un mur en me disant : ‘Je suis une super héroïne, j’ai tué une panthère ! ‘

Le Noël de petit caribou

Publié le 13/12/2011 à 21:02 par ladystricte Tags : homme enfants amis nuit monde animaux heureux hiver neige cadeaux



Il était une fois, dans une campagne enneigée du Canada, un petit caribou.  Il vivait dans un tout petit village, entouré de sa famille ainsi qu’une poignée d'habitants. Le village était isolé du reste du monde, presque invisible, fragile et recroquevillé dans une épaisse forêt .
Les habitants ne sortaient presque jamais et se plaisaient à vivre ainsi, loin de l'agitation de la ville. les animaux de la forêt étaient les meilleurs amis de petit caribou, et les enfants passaient leur temps à jouer dans les ruelles. Sauf petit caribou. Il était timide…
A l'approche de Noël, dans tout le Canada, les gens se préparaient au réveillon du 25 décembre, mais petit caribou se disait bien qu’il n’aurait pas de cadeaux. Personne ne connaissait son petit village. Puis le Père Noël n'était qu'une légende, les enfants ne le verraient jamais. Le Canada, c’est très loin !! Personne en effet n'avait encore aperçu de Père Noël et les chemins qui conduisaient au village étaient toujours impraticables, surtout l'hiver.

les enfants n'avaient jamais de cadeaux pour Noël, mais ils ne s'en plaignaient jamais. Les parents de petit caribou lui racontaient,  pendant des heures, des histoires sur le Père Noël, pour qu‘il ne perde jamais espoir. Parce que c’est l’espoir qui faisait avancer, et petit caribou en avait bien besoin. Petit caribou fermait les yeux et rêvait à tous les cadeaux qu’il aimerait recevoir. Il était heureux ainsi !
Un jour pourtant, son rêve allait devenir réalité, mais petit caribou ne le savait pas encore…
…Non loin de là, dans la forêt recouverte de neige, un vieil homme marchait seul. Il semblait être perdu. Sur son dos, il transportait un sac qui était très lourd ! Le vieil homme qui avait perdu son chemin, arriva à l'entrée du village. Il faisait nuit noire et le vieil homme pris peur. Pas âmes qui vivent, pas de sapin sur la place du village, pas de bruit ! Le vieil homme se dit que personne ne devait habiter ici, quand il vit par la fenêtre, petit caribou et ses parents près de la cheminée. Il écouta les histoires que contait maman caribou à son fils quand il compris que personne n’allait fêter Noël dans cette maison…  Le vieil homme, qui n’était autre que le Père Noël déposa soigneusement les cadeaux un à un, devant les pas de porte de chaque habitation, puis, sans faire de bruit, repris son pénible périple.
Petit caribou qui était fatigué et plein de rêves en tête alla se coucher dans son minuscule petit lit. Sa maman qui le bordait une dernière fois trouvait qu’il ne faisait pas très chaud dans cette chaumière ! Elle convia papa caribou d’aller chercher du bois afin que petit caribou ne prenne pas froid.
C’est alors, qu’en sortant de la petite maison dans la campagne, papa caribou découvrit un énorme paquet pour son petit caribou. Il n’en croyait pas ses yeux !
-Petit caribou, cria-t-il ! Réveille-toi !
Petit caribou qui venait juste de s’endormir sursauta au son de la grosse voix de son papa. Il prit son mouchoir entre ses doigts, le mis à la bouche et traîna des pieds jusqu’à la porte d’entrée. Je crois que personne n’oubliera cet instant. Petit caribou était là, immobile, les yeux écarquillés. Il comprit de suite ce qui se passait dans cette maison. Le Père Noël était venu pour lui !!
Cette nuit là, petit caribou n’arriva pas à trouver le sommeil. Il garda précieusement le gros paquet contre lui et tentait de dissimuler ses petites larmes. Ce fut le plus merveilleux Noël de toute sa longue vie…

Syndrome de la mèche rebelle..

Publié le 13/12/2011 à 10:33 par ladystricte Tags : nuit moi femmes pub


Nous, les femmes, connaissons toutes ce syndrome. Pour une raison encore méconnue, une mèche de cheveux pousse en pleine nuit tandis que les autres non. Vous ne la remarquez pas immédiatement, elle se cache sous un  cheveux. Vous avez un léger doute lorsque votre crinière se refait une santé sous les poils de votre brosse fétiche. (On a toutes  des tonnes de brosses mais on en utilise qu’une seule. Aucun raisonnement à ça).
Après la douche, l’essorage de votre crâne, on secoue la tête de gauche à droite, pour faire comme dans la pub pour le nouveau shampooing, et on laisse sécher à l’air libre. C’est la première solution. Moi, j’ai les cheveux longs alors je m’amuse à prendre une mèche de la main gauche afin de la ramener sur le côté droit. Puis quand j’en ai marre, je reprends cette même mèche que je ramène sur le côté gauche. Ça fait classe et surtout, ça ne sert à rien, mais c’était hyper tendance dans les années 80. La deuxième solution consiste à se servir d’un sèche-cheveux. Là, c’est un peu plus technique. Il faut légèrement écarter les jambes, sinon on manque de tomber. On bascule vivement la tête en bas (surtout ne pas le faire en prenant son temps car les cheveux  dégoulinent le long de vos joues et c’est raté !) Un coup net et franc !  Là, comme on ne veut pas déranger  la coiffure, on tâtonne afin de trouver ce fichu sèche-cheveux qui normalement repose sur le rebord d’évier. On tâtonne on tâtonne.. Ça est, on le tient ! Ah non, c’est la brosse..  (Je me faire un café, le temps de trouver). C’est bon ? On l’a ? Bien. On a bien pensé à mettre la soufflerie sur « froid » ? Il est impératif de ne pas utiliser la fonction soufflerie chaude, sous peine de détruire votre magnifique chevelure de brune pulpeuse. CQFD. Le souffle caresse doucement les gouttes d’eau qui ruissèlent  sur vos pieds nus.. Vos doigts lubrifiés démêlent les mèches, une à une. Vos cheveux commencent alors à être de plus en plus fluides, de plus en plus souples. Ils sont secs. On reprend le geste initial, mais dans le sens inverse. On redresse brutalement la tête. Si comme moi il vous faut au moins 3 bonnes minutes afin de voir vos poils de tête secs,  calez-vous le long d’un mur, sans cela on perd l’équilibre (le sang revient brutalement submerger votre cerveau).
Il y a un malade, on ne sait pas qui, mais un malade a installé un miroir en face de l’évier de la salle de bain. Un bonheur de vous voir le matin, quand vous n’êtes encore qu’une loque.. Si je le tiens celui-là !!! Bref, vous pouvez donc admirer votre superbe crinière façon le roi lion. Entre le séchage et le redressement de  votre tête, il s’est passé un truc mais on ne sait pas quoi.  C’est à ce moment bien précis qu’il faut jeter le sèche-cheveux et s’emparer de la brosse pour aplatir tout ce bordel. Comme aujourd’hui c’est votre jour de chance, votre cheveux a chopé toute l’électricité statique qui traînait. WOW ! Moi, pour corriger ça, j’utilise une lotion qui donne une odeur fruitée à mes cheveux.
Votre coiffure prend forme, vous êtes sublime. C’est là que les ennuis commencent…

La mèche rebelle est là, visible. Que se passe t-il ? Hier tout allait si bien… Pourquoi une mèche dépasse des autres ? On défait puis on refait sa frange mais rien à faire, la mèche est encore là. LA solution ultime consiste à brancher le lisseur. On en a toutes un. C’est super pratique pour lisser la frange (le reste on s’en fou,). Il faut faire en sorte de ne pas se brûler le front et on lisse, on lisse, on  lisse…
Votre cœur bat fort parce que là, il ne faut pas se « louper ». On chope d’une main les ciseaux qui sont dans le même pot que les brosses donc du coup, on ressort avec des griffures partout sur le dos de la main.. Bordel !.. Je l’ai ! La mèche rebelle est sur votre droite et comme vous êtes droitière… vous utiliserez donc la main gauche. J’ai testé de découper la mèche du côté droit avec la main droite.. Un échec ! Bah oui, je ferme les yeux, du coup, je ne vois plus rien.
On vise bien la mèche on entrouvre bien les ciseaux et là ON COUPE vite ! Raté.. On a chopé un autre cheveux au passage… Pas grave, il reste encore des essais. On recommence l’opération, mais cette fois-ci en essayant de garder un œil ouvert. Encore raté… On ébouriffe la frange pour voir si ça se voit réellement et c’est là que la tragédie s’opère. Comme les mèches ne sont plus raides et collés au front mais souples et légères, la frange à perdu au moins 2 cm!!! C’est con parce que la mèche qui gênait, de par sa différence de longueur, était celle qui retombait sur vos yeux et donnait ce côté charmeur qui vous scié à merveille. Là, on dirait.. Rien en fait. Vous ne ressemblez à rien. J’ai trouvé la solution pour parer à ça. Je garde les sourcils en l’air. Ca va être long de rester comme ça 15 jours….

Les joies de la jeunesse !

Publié le 11/12/2011 à 10:54 par ladystricte Tags : moi fille bande
Hier, en me promenant dans le centre ville, j'ai vu un adolescent habillé en jogging. Il portait une casquette, rien d'anormal de nos jours. Il jurait, avec son accent particulier qui ne s'attrape qu'en quittant les beaux quartiers et en entrant dans une cité (euh non, pas U). J'ai commencé à m'écarter de sa route, ne voulant pas froisser mon manteau ou tâcher ma jolie écharpe mauve qui était du même colorie que mon gloss, sait-on jamais ce qui peut se passer quand une bande de jeunes a abusé de vodka-coca ! "J'EN AI RIEN A FOUTRE T'ES QU'UNE GROSSE PUTE!" Forcément, quand on entend ça, on fait quoi ? ... J'ai pris mes petites bottes à mon cou et j'ai pressé le pas. OUF, sauvée, je suis dans un bar. Croyez-moi ou non, l'adolescent était en fait une jeune fille. Elle était dans un état... Même pas de mascara ! Je ne sais pas ce qui m'a fait le plus peur, la façon dont elle a vainement tenté d'exploser une porte en bois en sautant dessus (scène très drôle) ou le moment où elle ne pouvait plus parler parce qu'elle avait un big mollard dans la bouche (qu'elle à fini par cracher sur le sol). J'aime vivre des moments forts. C'est beau une ville, le jour.

Brouillon d'idées.

Publié le 10/12/2011 à 19:06 par ladystricte Tags : belle moi

Encore une soirée, un samedi soir sur la terre...

Encore une soirée ou parfois je ressens un manque. Faudrait que tu reviennes. Faudrait que j'arrête d'attendre que ça arrive ? Faudrait revenir en arrière, un moment, un instant. Reposer une main sur notre destin et l'enfermer. Faudrait changer la donne. Faudrait éviter ce passé et ne jamais en faire notre futur. Faudrait que tu reviennes parce que je vais m'en arracher les tripes. Faudrait que tu me raisonnes, me reparle encore une fois. Faudrait que tu m'appelles, oui, il le faudrait. Faudrait peut-être prendre un virage à 180 degrés et s'endormir. Faudrait que je mette mes idées au clair, sans lune. Faudrait que je ne m'éparpille plus. Faudrait que tout rentre dans l'ordre. Faudrait que mes jours deviennes des semaines, avancer plus vite. Reculer ne me fait pas avancer. Comment avancer sans se retourner ? Inutile de se retourner, je ne vois rien passer, sauf le temps qui me reste. Faudrait que tu m'expliques ce qui m'échappe. L'échappée belle était cependant pour moi. Faudrait que j'arrête mes monologues. Faudrait que je grandisse. Faudrait un nouvel objectif, visionner les gens sous un angle différent. Stabilité, ouais, faudrait. Faudrait que la pluie cesse de me parcourir les yeux. Faudrait supprimer la brume. Faudrait réinventer nos vies. Faudrait achever les nuits, à jamais. Je n'ai plus que nos souvenirs. Faudrait, faudrait, faudrait....

Faudrait penser à ne pas oublier.

Le marché 0-o

Publié le 10/12/2011 à 18:57 par ladystricte Tags : cadeau isabelle
Ce matin, je me décide à aller au marché, dans le centre ville de Draguignan (32 815 habitants. 11 degrés). Jusque là, aucun souci. Enfin...si, impossible de se stationner ! Bordel. Bref, je trouve une place pas trop loin des exposants (je déteste marcher, ça use mes bottes).
Là, je me promène dans les allées entre les saucissons et les petites culottes, quand un petit grassouillet me donne un billet de tombola. "Mais si, prenez-le ! C'est un cadeau gratuit". Mon oeil, je ne gagne jamais rien, sauf l'ennui. Il me dit que je suis ravissante, donc finalement je le prends son fichu billet. Là, j'ai le droit à un couteau pour couper les pizzas, une cuillère, une fourchette.. en exemplaire unique, vous pensez-bien, à un plateau tout moche en alu, à un objet non identifié (je cherche encore ce que c'est/à quoi ça sert) ainsi que ........TAdammmmmmmmmmm, une minuscule boîte qui fait "lampe/tournevis/mètre mesureur". Oh punaise, que de magnifiques présents !! C'est bientôt Noël ! Je vous sens jaloux... Bref, le gars était entouré de vieilles alors il pensait que j'allais jubiler quand il a comparé ma beauté avec celle de Marie Laforêt 0-o (Grassouillet 0), par la suite il s'est mis à m'appeler Isabelle. J'ai une tronche à m'appeler Isabelle ? Bref, 1 heure plus tard (ouais j'y suis restée 1 heure devant son stand parce qu'il engueulait tous ceux qui partaient. Je flippais ma race) !!, je me suis mise à courir pour m'enfuir. Je suis crevée !! Je hais le marché !! C'est la lose !!!!!!!!!!

Facebook

Publié le 05/12/2011 à 16:00 par ladystricte Tags : moi actualité art monde amis amitié

Comme grand nombre de personne, j'ai aussi ma page FB ! Incroyable. Si on réfléchit attentivement à la question, il en faut du temps à perdre pour s'occuper de tout ça mine de rien. Quoiqu'il en soit, j'ai ma page FB ! C'est une page intime, privée, réservée aux intimes avec 80% d'inconnus(es). Je vous vois venir.. Au départ, je pensais naïvement, oui j'ai gardé un côté assez naïf des choses, retrouver (comme sur copains d'avant, etc..) mes amis(es) d'enfance. Au fil des jours, des semaines, des mois, j'ai reçu des invitations de personnes étrangères à ma connaissance et j'ai cliqué sur "accepter", comme on clique facilement sur "j'aime". Avec du recul, j'assume mes choix. Il ne m'est pas interdit de me dire quelque fois : "putain mais c'est qui celui-là ?" J'ai donc maintenant des relations virtuelles avec des amis(es) virtuels(les) dans un monde utopiquement virtuel.

Le but ? Le mien, n'a pas réellement changé. Je teste la limite des gens, je tourne tout en dérision. Je me suis taillée une réputation de débile profonde, Tagada TsoinTsoin, en passant par être une personne totalement accroc au sexe. Illumination de certains, ou l'art de faire penser à autre chose. Vous l'aurez compris, sur FB inutile de parler de politique(ment correct) ou autre sujet d'actualité puisque ça ne stimule personne. Que reste t-il ? Des allusions fortuites. J'aime jouer avec les mots et les gens. Pardonnez-moi ce manque de savoir-vivre qui me scie à merveille. Pardonnez-moi mon père parce que j'ai pêché (pas le thon, parce que je suis en phase grève de la faim. Je ne cherche pas un éventuel compagnon rencontré sur une base virtuelle). Je me suis laissée investir par une réelle amitié pour certains. Je ne peux me le pardonner !  Facebook au final, c'est la lose !!!